Ce que les vieux logos nous apprennent

 

Ma petite obsession pathologicoprofessionnelle pour les logos me pousse à parcourir des sites comme Logobook ou des livres comme Logo Modernism, qui sont essentiellement des compilations de logos de l’ère classique (1955 – 1985), neutralisés – c’est-à-dire présentés en noir sur fond blanc –, et classés par styles.

Je viens de finir d’éplucher cette énorme brique qu’est Logo Modernism, et, outre un net gain de musculature sur mes bras, voici brièvement ce que j’en retire, illustrations à l’appui. Divulgâcheur : vous n’apprendrez rien d’utile.

  1. Le logo d’Asakura, c’est le logo d’Autobianchi qui aurait eu un petit.

 

2. Quand on retire la couleur, certains logos sont identiques. Think big, think black.

Et d’autres, presque.

 

3. Même en Norvège et dans les années soixante, la construction, c’est viril.

 

4. On a vraiment beaucoup cheminé en 50 ans.

 

5. Le logo de Howard Miller ressemble à celui d’Under Armour avant l’accouplement.

 

6. L’église luthérienne glorifie la colombe qui pète.

 

7. L’ancien logo du PQ a un ancêtre nommé Contrôle Qualtiss (on dirait un sacre)!

 

8. Le picto de Radio-Canada est issu d’un continuum qui va de Dayton Hudson à Roosevelt University.

 

9. Le picto de Flash a au moins deux ancêtres répertoriés.

 

10. En 1964, Paris Hilton n’était même pas née, mais elle avait déjà un logo. Elle a vite compris qu’on pouvait être célèbre en ne foutant rien.

 

11. Quoi ne pas faire à un «enfant retardé».

 

12. Robert, arrête de copier sur Paul! Surtout que vous êtes deux éditeurs…

 

13. Le picto de BMO ressemble en Modine (désolé).

 

14. Qui a copié l’autre, hein?

 

15. Le graphiste du Théâtre de Liège a accusé Tokyo 2020 de plagiat. Mais avait-il vu le logo de Time Life Records?

 

16. Wonder Woman à la rescousse!

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